26 septembre 2014
Au lit, comme tout le monde...
Sous le soleil d'une ombrelle, Je cherche la chaleur maternelle, Et la nuit, sur mon oreiller, Je sens son souffle m'envelopper.
Sous la couette, robe de chambre, Je ne suis plus le tueur à gages, Mais plutôt un enfant sage, Qui joue entre tes jambes.
J'ai froid le jour, la nuit aussi, Mais chaque fois sur mon sofa, Ensommeillé, la tête en bas, Je retrouve l'enfance qui m'a fuit.
Et je regrette de n'avoir plus D'amoureuse entre mes bras, Une qui devinerait pourquoi, vers mes parents, Je fais un pas de plus.
Sous la couette de couleur vermeille, Je retrouve la chaleur maternelle.
La chaleur maternelle.
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